Les observations in vivo effectuées au Domaine expérimental Bombi/plateau des Batékés et complétées par des données prélevées dans d’autres sites comme celui de Mbandaka, de Kisantu et Lutendele ont permis d’identifier les bio-agresseurs les plus en vue (et qui constituent un véritable défi à relever au regard des solutions à rechercher).
Il s’agit de :